Une Djouze dénonce la mise en esclavage des femmes blanches par son clan djouze

Léa Shakdiel, juive, peut se permettre, en tant que djouze, de critiquer les agissements dégueulasses de sa propre “communauté“ (organisée). Ce sont encore les membres de cette communauté, lorsqu’ils dénoncent leur clan, qui nous sont le plus utile. Car ce qu’ils écrivent ou disent (enregistrements audio et vidéos) vient ajouter du crédit à nos accusations fondées. Les paroles du camp ennemi nous sont bien plus utiles que nos propres jugements et remarques. C’est exactement la méthode utilisée par Philippe Ploncard d’Assac.
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