Bertrand SCHOLLER - 9/11 la guerre contre la «civilisation Humaine» commence ? 2022, début de Niet ?

Beaucoup de dates ont cristallisé l’émotion collective de l’humanité. Mais à part les « premiers pas officiels » de l’homme sur la Lune, ou ce qu’on nous a donné à voir, aucun événement n’a eu lieu en direct de la sorte. (On ne peut comparer l’enterrement de Lady Di, une finale de Coupe du Monde de Football, un 100m en final des jeux olympiques où le sacre de Michael Jordan … voire même la mort de Maradona où Pelé à la chute en direct des tours jumelles). La Terre entière s’est arrêtée de tourner, pour observer sur petit écran, 2le 11 septembre 2011, tours à Manhattan brûler, en leur quasi sommet, puis s’effondrer comme si elles étaient désintégrées de haut en bas, sans résistance. Puis, dans l’heure, un passeport intact retrouvé dans les décombres et un coupable, ex agent de la CIA, contre les Russes en Afghanistan, devenu ennemi public numéro 1 mondial. Le portrait de Ben Laden et le nom de son organisation Al Qaida seront partout, au rythme où raisonneront les mots de Georges Bush (le fils). Ce dernier annoncera, avec Dick Cheney dans son ombre, l’entrée des USA en Guerre, puis le Patriot Act, qui indiquait que l’ennemi était partout, y compris au sein des USA. La réponse américaine était structurée autour de l’idée : moins de libertés pour plus de sécurité et donc de liberté ! Que cela ne durerait que le temps de cette guerre, pourtant éternelle depuis ! Mais revenons sur cet événement et essayons de le décrypter et comprendre mieux à qui profite le crime. Le choc des images et du récit mérite, même plus 30 après, de continuer à chercher une vérité qu’ils essayent toujours de cacher, tant elle a eu de conséquences, dont des millions de morts et la fin de nombreuses libertés fondamentales. Cet événement arrive 10 ans après la chute de l’URSS, un peu moins de 2 ans après l’accession au pouvoir en Russie de Vladimir Poutine, mais aussi 3 mois seulement avant l’entrée de la Chine dans l’OMC (11/12/2001). A cette date, l’Amérique manque cruellement d’ennemis « crédibles » pour justifier de relancer son industrie militaire. Cette industrie est profondément auditée, dans la tour7 (qui tombera aussi ce jour là, sans être effleurée par le moindre débris d’avion), mais aussi, dans l’aile du Pentagone qui brûlera, si fort qu’en quelques seconde il ne restera AUCUNE TRACE VISIBLE, pas même ses moteurs ! Ensuite, on se demandera comment les « terroristes » désignés auraient ils pu être si mal inspirés qu’ils offraient, en réalité, à ce qu’on surnomme le Deep State US d’effacer les traces de leurs crimes passés, puis de légitimer tous les suivants. Ainsi, quel chef d’Etat dans le collimateur des USA n’a pas compris ce jour là, que son horizon s’assombrissait, puisque la notion de guerre préventive « autorisée » ou « autorisable » était née. Il suffisait de créer de nouvelles images chocs et le tour serait jouer, n’est ce pas Colin Powell ? Dans le passé, les big corps et la deep state, n’avaient jamais hésité à assassiner les adversaires gênants (y compris JFK), à renverser les chefs d’Etats de pays trop indépendants (la liste est immense), à prendre le contrôle des flux financiers mondiaux, avec une monnaie ne reposant que sur leurs mots (depuis Nixon et la fin de l’étalon or du dollars) … mais tout cela était imperceptible pour la plupart (pas vu pas pris). Là le complot était si visible, énorme, irréaliste … qu’il en devenait invisible ! Qui pouvait imaginer une telle supercherie, ou surtout qui oserait la dire face aux pleurs de toute l’Amérique en colère ? Immédiatement, avec leur drapeau aux vents, les USA partaient en guerre contre le terrorisme islamique et ses ramifications mondiales. Ils avaient leur ennemi parfait, invisible et trop visible, présent partout y compris chez eux, mais surtout là où sont les ressources pétrolières et minières (Afghanistan, Pays du Golfe, etc). Rien à voir avec les tchétchènes pour les Russes (mais c’est une autre histoire … dans l’histoire) ? Les tours étaient tombées par magie … et les USA n’auraient plus besoin de magie pour agir, ils seraient légitimes en tout et partout. Leur exceptionnalisme était né, leur double standard deviendrait la norme, et ils pourraient surtout affirmer tout et surtout son contraire, sans que personne ne puisse durablement les contredire, sans être réduit au silence ou à la vindicte (ne pas effacer trop vite les ennemis, pour garder les plus utiles au cas où ?). Les États Unis aller pouvoir gouverner mondialement par le chaos des esprits, des guerres, des révolutions de couleurs et de la peur … des peurs visibles et invisibles; ou la menace du chaos financier si à chaque crise, le Monde entier ne le renflouait pas. Ils étaient une victime, nous étions tous témoins, personne ne pouvait leur contester le droit de se venger, pas même la Russie, longtemps dupe… en apparence (jusqu’au Covid ? ), des malices de leur « ex-ennemi » devenu « hyper » gendarme du Monde dans tous les domaines (finance, terrorisme, drogue, santé …). _