Entretien avec Didier Maïsto, l’homme qui taquine la ligne jaune

« Je ne suis rien, je ne serai jamais rien, je ne peux vouloir être rien. À part ça, je porte en moi tous les rêves du monde » : par cette citation d’un poète portugais s’achève le récit de Didier Maïsto « Passager clandestin » paru au « Diable Vauvert » en plein confinement. Denis Robert offre au PDG de Sud Radio une séance de rattrapage avec cet entretien qui brasse très large. « Même s’il n’y avait pas eu de livre, je vous aurais invité » démarre le journaliste avant d’interroger son invité pendant près de deux heures. De l’enfance ouvrière tendance CGT dans le petit appartement de Toulon à la Radio qui a le plus (et le mieux, selon nous) traité le mouvement des gilets jaunes, la conversation va passer par de nombreux chemins de traverses entre accident grave à moto, baston dans une permanence RPR, dénonciation d’une corruption endémique en particulier au CSA, militantisme à droite tendance
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