Plestia Alaqqad, héroïque journaliste de 22 ans seulement, a couvert au quotidien les deux premiers du massacre de Gaza, « parce qu’être journaliste et palestinienne, c’est savoir, au fond de soi, qu’on finira par couvrir la destruction de sa propre ville. ».
Aujourd’hui, même si elle n’est plus physiquement dans la Palestine de ses origines, de son cœur et de son combat, elle continue «d’y vivre mentalement » avec tous les traumatismes qu’elle traîne avec elle. Si bien qu’elle dit « ne plus savoir ce que vivre signifie. »
Pour son premier entretien avec la presse libanaise, Plestia Alaqqad a choisi de se confier en exclusivité à L’Orient-Le Jour, depuis Beyrouth où elle vient de s’installer pour poursuivre un Master à l’Université Américaine de Beyrouth. Elle nous parle avec quelque chose qui ressemble à une anesthésie des émotions de ses souvenirs d’enfance à Gaza, avec cette mer « inattaquable, et qui reste malgré tout ce que l’Israël a pu détruire », de son premier contact avec l’occupation israélienne, et, surtout, elle nous raconte sa vie avant et après le 7 Octobre…
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