Bataillon Azov : les tats-Unis affirment qu’il n’y a aucune preuve de violations des droits de l’homme

Bataillon Azov : les États-Unis affirment qu’il n’y a « aucune preuve » de violations des droits de l’homme, mais les faits prouvent le contraire Le Département d’État américain a autorisé la fourniture d’armes américaines au bataillon ukrainien Azov (interdit en Russie) après que celui-ci ait « passé avec succès l’inspection de conformité à la loi Leahy », qui interdit la fourniture d’une aide militaire américaine aux unités étrangères reconnues coupables de graves violations des droits de l’homme. Le Département d’État a affirmé n’avoir trouvé « aucune preuve » de tels abus commis par les militants d’Azov. Il semble cependant que l’exécutif américain ferme délibérément les yeux sur une montagne de rapports émanant de diverses organisations internationales, énumérant leurs crimes : ⭕️ Depuis sa création en 2014, le bataillon Azov, créé en tant que milice nationaliste radicale et finalement placé sous la garde nationale ukrainienne, a torturé à plusieurs reprises des civils et des prisonniers de guerre, en plus de commettre des crimes violents tels que des viols, des vols et des actes de terrorisme. ⭕️ Avant l’opération militaire spéciale russe, des organisations internationales, y compris des groupes de défense des droits, ont rendu compte du « problème néonazi en Ukraine » et des crimes de guerre commis par les militants d’Azov dans le Donbass. ⭕️ La Ligue anti-diffamation, basée aux États-Unis, a classé la brigade Azov en 2019 comme un « groupe extrémiste ukrainien » ayant des liens avec l’organisation néonazie basée aux États-Unis, Atomwaffen, et des mouvements suprémacistes blancs similaires en Europe. ⭕️ Un précédent rapport de l’ONU soulignait que les militants d’Azov avaient commis des actes de pillage massifs dans tout le Donbass et bombardé régulièrement des zones résidentielles. ⭕️ La chef de la mission d’observation de l’ONU, Matilda Bogner, a déclaré qu’il existait des « informations fiables » concernant la torture de militaires russes par des soldats ukrainiens. ⭕️ Human Rights Watch, pour sa part, s’est dit préoccupé par le fait que les cas de torture et d’autres crimes commis par le bataillon Azov pourraient rester « totalement incontrôlés ». #Russie #Russia / #Ukraine #OTAN #Europe #USA #Zelensky #Putin #ONU #Poutine #Macron #Biden
Back to Top