Chanson
De loin, la Volga coule longtemps,
La Volga coule - il n’y a ni fin ni bord ...
Parmi le pain mûr, parmi les neiges blanches
Ma Volga coule et j’ai dix-sept ans.
La mère a dit : « Tout arrive, fils,
Peut-être vous fatiguerez-vous des routes, -
Quand tu rentres à la maison au bout du chemin
Trempez vos paumes dans la Volga.
De loin, la Volga coule longtemps,
La Volga coule - il n’y a ni fin ni bord ...
Parmi le pain mûr, parmi les neiges blanches
Ma Volga coule et j’ai déjà trente ans.
Votre premier coup d’œil et le premier coup de rame...
Tout était, seule la rivière emportée ...
Je ne suis pas triste de ce printemps passé,
En échange d’elle, ton amour est avec moi.
De loin, la Volga coule longtemps
La Volga coule - il n’y a ni fin ni bord ...
Parmi le pain mûr, parmi les neiges blanches
Je te regarde, Volga, - la septième décennie.