Retour sur l’affaire des mutuelles de Bretagne, dite aussi affaire Richard Ferrand, du nom de l’ex-président de l’Assemblée Nationale. Cet intime d’Emmanuel Macron était suspecté d’avoir profité de ses fonctions à la tête des Mutuelles de Bretagne, un organisme privé mutualiste, pour permettre à une proche d’acquérir un immeuble à moindres frais. Selon l’enquête, l’ex-député du Finistère a signé à la fin de 2010, au nom de sa compagne Sandrine Doucen, un compromis pour acheter un immeuble, assorti d’une clause conditionnant l’achat du bien à la promesse de sa location par les Mutuelles de Bretagne, dont M. Ferrand a été le directeur général de 1998 à 2012.
Un dossier présenté par Danièle d’Antoni, du groupe local parisien d’Anticor.
Remerciements
Merci à Danièle d’Antoni, Alexandre G. pour le visuel, et Yarol Caldera pour la musique.
Anticor, association citoyenne contre la corruption et pour l’éthique en politique
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