Les suicides : symptôme d’un gros malaise au sein des forces publiques, contraintes d’obéir à un fou

Nouveau suicide au sein de la police nationale, c’est le vingt-sixième, depuis le début de l’année : Ils sont 275 000 fonctionnaires, qui constituent les forces publiques, répartis au sein de la police nationale (150 000) de la gendarmerie (100 000) et de la police municipale et rurale (25 000). 10 000 policiers et 15 000 gendarmes ont démissionné en 2022. Année qui a été marquée par le suicide record de 50 agents. En 2023, on compte déjà 26 suicides. Un phénomène inquiétant, qui traduit le trouble, qui s’est emparé des fonctionnaires des forces publiques. Depuis l’arrivée de Macron, qui les instrumentalise, afin de faire taire tous les résistants à son régime fasciste mondialiste, les agents des forces publiques traversent un profond malaise. Ils ne sont pas employés conformément aux missions clairement définies par la loi. De surcroît, il règne un climat délétère, notamment au sein de la police nationale. Ils sont de plus en plus nombreux à ne plus supporter les conditions d’exercice de leur mission. Certains sombrent et finissent par mettre fin à leurs jours... “Police : la loi de l’omerta“, un livre paru aux éditions Le Cherche Midi, co-écrit par Fabien Bilheran (officier de police judiciaire) et Agnès Naudin (capitaine de police). Six policiers lanceurs d’alerte prennent la parole à visage découvert. Une immersion dans leur travail quotidien montre la mécanique froide mise en œuvre par l’administration pour faire taire les policiers : “ Soit tu fermes ta gueule, soit tu fermes ta gueule. “
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