Jean Jacques GOLDMAN Veiller tard

Axel Goldman retrouver moi sur facebook . Paroles de Veiller Tard Les lueurs immobiles d’un jour qui s’achève La plainte douloureuse d’un chien qui aboie Le silence inquiétant qui précède les rêves Quand le monde disparu l’on est face à soi Les frissons où l’amour et l’automne s’emmêlent Le noir où s’engloutissent notre foi, nos lois Cette inquiétude sourde aui coule en nos veines qui nous saisit même après les plus grandes joies
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