LETTRE AUX ARABES

#AfriqueDuSud #génocide #israël #palestine #gaza #CiJ #lejournaldepersonne Il paraît que le jour du jugement dernier, nous serons tous désemparés car le frère ne pourra pas voler au secours de son frère, ni le fils au secours de son père… A y regarder de plus près, pas la peine d’attendre le jugement dernier pour se rendre à l’évidence que ce n’est pas propre à l’au-delà, c’est déjà le cas ici-bas. Je n’ai personnellement jamais vu de frère fidèle à son frère, ni de fils fidèle à son père. Occasionnellement peut-être, absolument, jamais. C’est sans doute la raison pour laquelle nous serons jugés pour ce forfait le jour du jugement dernier… et sans dote condamnés pour non assistance à personne en danger. Parce que pour Dieu, il n’y a pas que des liens naturels entre les hommes… Comme la fraternité de sang qui donne un sens à notre vie. Il y a aussi des liens spirituels entre les hommes comme la fraternité de sens qui donnent une valeur à notre vie. Pourquoi les arabes ont-ils oublié celle-ci et celle-là en même temps ? Quand il n’y aura plus aucun survivant à Gaza, seul Dieu s’en souviendra pour châtier non pas les auteurs d’un véritable génocide mais ceux qui n’ont pas remué ciel et terre pour qu’il n’ait pas lieu. Que Dieu me pardonne ne de pas leur pardonner.