GRANDS DICTATEURS DE L’AMÉRIQUE DU SUD

Liste sur gRANDS DICTATEURS DE L’AMÉRIQUE DU SUD. N’oublies pas de t’abonner pour ne pas rater les prochaines vidéos: DICTADURIA, DICE OF QUE forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est concentré autour de la figure d’un seul individu (dictateur), généralement par la consolidation d’un gouvernement de facto, caractérisé par une absence de division des pouvoirs , une propension à exercer un contrôle arbitraire au profit de la minorité qui la soutient, l’absence de consentement des gouvernés et l’impossibilité pour l’opposition de prendre le pouvoir par une procédure institutionnalisé UNITED AMERICA QUE BOLIVES THE UN SON DE BIENTÔT EST VU PAR CES PERSONNAGES. CE QUI ÉTAIT LE DICTATEUR DE L’EXCELLENCE, m’aide à choisir Dans cette liste sur gRANDS DICTATEURS DE L’AMÉRIQUE DU SUD on trouve: 11. CARLOS SAUL MENEM (ARGENTINE) 10. JUAN DOMINGO PÉRON (ARGENTINE) 9. HUMBERTO BRANCO (BRÉSIL) 8. HUGO BANZER (BOLIVIE) 7. MARCOS EVANGELISTA PEREZ JIMENEZ (VENEZUELA) 6. ALFREDO STROESSNEES (PARAGUAY) 5. JUAN VELASCO ALVARADO (PÉROU) 4. JORGE RAFAEL VIDELA (ARGENTINE) 3. ALBERTO FUJIMORI (PÉROU) 2. HUGO CHAVEZ (VENEZUELA) 1. AUGUSTO PINOCHET (CHILI) 12. JUAN MARÍA BORDABERRY (URUGUAY) NÉ LE 17 JUIN 1928 À MONTEVIDEO, IL A ÉTÉ ASSUMÉ LA PRÉSIDENCE LE 27 JUIN 1973. PENDANT SON GOUVERNEMENT, Bordaberry a présidé le coup d’État du 27 juin 1973. Il a dissous le Parlement (remplacé par un Conseil d’État nommé par exécutif), organisations sociales, partis politiques et libertés civiles réprimées. L’armée a ensuite commencé à occuper des postes de responsabilité au sein du gouvernement dans ce que l’on a appelé le ’processus militaire civique’. En 1975, il a proposé à l’armée d’imposer un nouveau système constitutionnel d’inspiration fasciste et franquiste, éliminant définitivement tous les partis politiques. les institutions libérales illégales et réprimant. En 1976, les forces armées l’ont remplacé par le président du Conseil d’État de l’époque, Alberto Demicheli. 11. CARLOS SAUL MENEM (ARGENTINE) Carlos Saúl Menem, homme politique argentin, président de la République (1989 à ce jour), le premier à accéder à ce poste depuis 1928, selon les voies constitutionnelles du successeur de l’ancien chef de l’Etat. Né le 2 juillet 1930 à Anillaco (La Rioja), fils d’immigrés syriens, il fit ses études en tant que musulman sunnite. À l’adolescence, il s’est converti au catholicisme et a commencé son activité politique alors qu’il faisait ses études universitaires. À 25 ans, il est diplômé en droit de l’Université de Córdoba. Membre du parti Justicialista (l’organisation politique du péronisme), il fonde en 1955 la jeunesse péroniste. L’année suivante, il fut emprisonné pour avoir tenté de rétablir au pouvoir Juan Domingo Perón, exilé, et devint conseiller juridique de la Confédération générale du travail (CGT), le syndicat péroniste, fonction qu’il occupa jusqu’en 1970. aux élections de 1962, candidat au poste de gouverneur adjoint de sa province natale, La Rioja, mais le coup d’État militaire qui renverse le président Arturo Frondizi a échoué dans l’application pratique des résultats des élections. Cependant, en 1963, il fut élu président provincial du parti justicialiste. En 1973, après le retour au pouvoir de Perón, Menem remporta l’élection du gouverneur de la province de La Rioja. Il a été emprisonné en 1976 lorsque la présidente Vía et successeur du dictateur María Estela Martínez de Perón a été renversée par un coup d’État qui a permis au pouvoir d’accéder au pouvoir de la Junte militaire présidée par Jorge Rafael Videla.... Images extraites de 20 minutos
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