Thierry Malandain s’appuie sur des pages du Stabat Mater et sur l’Estro armonico Op.3 d’Antonio Vivaldi, partition «survitaminée», presque soumise à la tyrannie du toujours plus, d’où la tentation d’appeler ce ballet: est-ce trop ?
Thierry Malandain crée autour du désir d’élévation et des efforts à accomplir pour atteindre le sommet, se référant aux mots d’André Lendger : « il est plus facile aujourd’hui de gravir un sommet de 8000 mètres que de monter de quelques centimètres à l’intérieur de soi ».
créé le 8 novembre 2014 au Teatro Victoria Eugenia de San Sebastián (Espagne) dans le cadre du projet Ballet T
Première française le 15 novembre 2014 à l’Opéra de Reims
musique Antonio Vivaldi
chorégraphie, décor et costumes Thierry Malandain
conception lumière Jean-Claude Asquié
réalisation costumes Karine Prins
réalisation accessoires Frédéric Vadé, Christian Grossard
coproduction Teatro Victoria Eugenia San Sebastián – Ballet T • Opéra de Reims • Centre Chorégraphique National d’Aquitaine en Pyrénées Atlanti