Pourquoi les droits LGBTQ+ reculent-ils au Liban ?

Beyrouth, ville refuge dans le monde arabe pour la communauté LGBTQ ? Si la capitale libanaise a cette image si positive, cela ne vient pas de nulle part. Après tout, il y a peu d’endroits comme celui-ci dans la région où les personnes queer trouvent des espaces de liberté et de partage. Le résultat de longues années d’activisme, particulièrement actif et audible à Beyrouth. Ces quelques victoires ne doivent toutefois pas cacher une réalité bien plus sombre au Liban. Et particulier à l’heure de la multiplication des crises dans le pays, qui ont largement affecté les droits de cette communauté selon les observateurs sur place. De la crise économique à l’explosion du port de Beyrouth en passant par la pandémie du coronavirus, les récents événements ont en effet détruit tour à tour une partie des lieux sûrs de cette communauté, en plus de réduire leur niveau de liberté, déjà fragile. Un pas en arrière dans un pays qui, malgré son image tolérante, a toujours maintenu, il faut le rappeler, un cadre législatif homophobe et où la majorité des habitants continuent de percevoir négativement les personnes non hétérosexuel. A l’occasion du mois des fiertés, une célébration mondiale qui a lieu chaque année en juin pour rappeler le combat pour les droits LGBTQ , on vous explique tout en vidéo, en 5 minutes. #Liban #lgbtq #helem L’information de qualité a un coût, abonnez-vous 👉 Retrouvez-nous sur nos multiples supports : Sur notre site : 👉 Sur Facebook : 👉 Sur Twitter : 👉 Sur Instagram : 👉