Les dessous de cette peur qui les ronge : Pourquoi Tebboune est pressé de commencer son 2e mandat
Live d’Algérie Part avec Abdou Semmar : la surprenante et brusque annonce de l’organisation d’une élection présidentielle anticipée en Algérie ne reflète nullement une quelconque volonté de renforcer la stabilité du pays. Au contraire, elle participe à un large plan de déstabilisation du pays dans le seul but de permettre à Abdelmadjid Tebboune de commencer le plus rapidement possible son 2e mandat consécutif. Le régime Tebboune est actuellement rongé par une peur profonde en raison de son incapacité chronique à redresser le pays et à offrir à la population algérienne le bien-être social, l’espoir d’un renouveau économique et des garanties d’un avenir meilleur. Craignant le retour en force des protestations populaires à la prochaine rentrée sociale de septembre 2024, une explosion sociale alimentée par une abyssale colère populaire en raison de l’accumulation incessante de la détresse sociale, de la misère économique et de la précarité généralisée, le régime Tebboune a établi un stratagème pour reprogrammer le calendrier électoral afin de faire avancer la date du scrutin présidentiel anticipant ainsi tous risques d’une vigoureuse contestation de la légitimité du 2e mandat que veut briguer Abdelmadjid Tebboune. Comme il avait été révélé précédemment par Algérie Part, jusqu’au mois de février, le régime Tebboune réfléchissait au scénario du report des élections présidentielles prévues initialement en décembre 2024 arguant d’un contexte géopolitique très menaçant contre la sécurité nationale et de crise extérieures aux portes des frontières du pays. Mais nos révélations et les commentaires qui ont suivi sur les intentions malsaines et objectifs égoïstes des dirigeants algériens consistant à instrumentaliser excessivement des tensions externes pour annuler une élection présidentielle ont fini par contraindre le régime Tebboune à revoir sa copie. Le pouvoir algérien a inversé par la suite son équation en utilisant, comme il est dans la dernière dépêche de l’APS, les menaces extérieures pour planifier une élection... présidentielle anticipée avec des préparatifs qui auront lien en pleine saison estivale et prenant de court les autres potentiels opposants à Tebboune qui voudront préparer, compléter et déposer leurs dossiers de candidatures pour participer à cette compétition électorale. “Les menaces extérieures sont telles, réelles et palpables, qu’écourter le premier mandat est une nécessité tactique. Une anticipation de turbulences programmées. L’enjeu international prédomine sur l’enjeu national“, a écrit à de sujet l’APS reconnaissant une nouvelle fois que Tebboune va écourter son mandat pour faire face à ses menaces... mais sans pour autant démissionner de son poste ! La peur de perdre le pouvoir, l’incapacité de conserver ce même pouvoir jusqu’à décembre 2024, la crainte d’une explosion de la colère populaire, les pressions exercées par des opposants et journalistes exilés, ont poussé le régime Tebboune à se précipiter dans un vaste plan d’urgence avec pour seule priorité : lancer le 2e mandat dans les plus brefs délais. Explications.
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