Notre guerre contre les démons (3).

Ces extraits relatent des expériences vécues par la famille de l’auteur, mettant en évidence la puissance des ténèbres et de la magie noire. Dans le premier extrait, la mère découvre un tissage complexe de plumes et de laine dans un drap oublié pendant 18 mois, un travail qu’elle attribue à la sorcellerie et aux démons. Selon elle, une rosace tissée entièrement peut provoquer la mort subite de la personne visée par un sort de magie noire. Heureusement, la rosace est découverte à temps et détruite avec difficulté. Dans le deuxième extrait, l’auteur raconte une expérience avec une gourmette de baptême en or qui disparaît mystérieusement et réapparaît plus tard dans une caisse en plastique, à un endroit impossible selon les lois scientifiques. L’auteur explique que cette situation a été causée par une force spirituelle maléfique qui l’a aveuglé, mais une puissance supérieure les a aidés à retrouver l’objet après avoir prié. Le troisième extrait concerne une voisine de la famille, Sylvia, qui a utilisé une planchette de spiritisme appelée ouija. Après cette expérience, elle a été tourmentée par des cauchemars récurrents mettant en scène un cadavre pâle lui ordonnant de tuer la famille de l’auteur et les voisins. La mère de l’auteur a averti Sylvia des dangers de l’utilisation de la planchette ouija et a recommandé de s’en débarrasser, mais Sylvia n’a pas suivi ce conseil, ce qui a entraîné des tourments ultérieurs. Ces extraits soulignent les conséquences néfastes de la magie noire et des pratiques occultes, mettant en évidence la croyance de l’auteur en une puissance maléfique agissant dans leur vie.
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